Interview de Philippe LE GREVES, nouveau Directeur d’activité Monitoring et Remote services pour SECURITAS France
- Philippe LE GREVES, quel est votre parcours ?
Bonjour, J’ai débuté ma carrière dans le monde du conseil au sein d’AT Kearney puis d’Arthur Andersen/BearingPoint. Pendant 15 ans, J’ai mené de grands projets de transformation sur de nombreux sujets et dans de nombreuses industries.
J’ai ensuite intégré le Groupe Malakoff Humanis en qualité de Directeur de la relation client pendant 5 ans.
Fin 2018, J’ai rejoint Suez Eau France en tant que Directeur de la relation client national et puis j’ai évolué au poste de Directeur marketing, performance commerciale et expérience client en 2024, avant de rejoindre Securitas en début d’année.
- Quelle est votre vision du secteur de la sécurité électronique ?
La sécurité électronique est une activité en constante évolution, en réponse à l’augmentation des risques liés à la criminalité, aux cybermenaces et aux besoins de protection dans des environnements de plus en plus connectés.
À l’heure actuelle, cette activité est à la croisée des chemins entre technologies avancées, évolution des régulations et changement des comportements des consommateurs.
- Selon vous, quels sont les enjeux majeurs à venir ?
L’enjeu principal est d’accompagner le changement et la transformation de la sécurité privée. Les entreprises du secteur doivent évoluer et prendre le virage du numérique et les clients adopter des nouveaux services de sécurité combinant humain et technologie
- Et les enjeux / perspectives pour l’activité télésurveillance de SECURITAS ?
Notre activité télésurveillance s’inscrit totalement dans la stratégie de Securitas en proposant désormais à ses clients des solutions globales alliant services surveillance humaine et télésurveillance.
- En tant que membre du GPMSE Télésurveillance, quelles sont vos attentes vs le groupement ?
Le GPMSE doit accompagner ses membres dans ces transformations en nous aidant à challenger ces évolutions, et en facilitant le partage entre pairs.
Mais bien évidemment défendre aussi nos intérêts auprès des services publics en mettant en avant nos activités.